Une réponse aux défis des entreprises


Les enjeux de la
Qualité de Vie au Travail

Le contexte professionnel actuel conduit les collaborateurs à courir un marathon… à l’allure d’un sprint ! Il est donc normal qu’ils soient épuisés, blessés, démotivés, voire qu’ils abandonnent.

Les chiffres de la santé et qualité de vie au travail

 

 

  • 89% des collaborateurs sont plus motivés au travail lorsque des programmes de bien-être physique et mental sont mis en place par l’employeur
  • 50% de départs volontaires en moins : c’est ce que connaissent les entreprises qui prennent en compte le bien-être des collaborateurs
  • 90% des collaborateurs pensent que la QVT contribue directement à la performance de l’entreprise
  • 52% des collaborateurs considèrent qu’un critère majeur dans leur choix d’un employeur est l’attention que porte l’entreprise au bien-être et à la qualité de vie au travail
  • Une mauvaise alimentation peut entraîner une baisse de productivité de 20 %
  • 10 points supplémentaires de performance économique : c’est ce que rapporte aux entreprises le fait d’agir en faveur du capital humain
  • Le 1er risque pour la santé des travailleurs est le stress professionnel (Agence européenne de sécurité et de santé au travail, 2012). Il représente 50 à 60 % des jours de travail perdus en Europe
  • 108 milliards d’euros, c’est ce qu’a coûté l’absentéisme en 2018

Par ailleurs :

  • un salarié totalise en moyenne 35 jours d’absence par an ;
  • Les pathologies liées au stress et à l’anxiété ont coûté, en 2016, 7,1 milliards d’euros à l’assurance maladie (Cnam) ;
  • La consommation de produits stimulants, de somnifères ou d’antidépresseurs augmente de 60 % les arrêts maladie.
  • La mauvaise qualité du sommeil augmente de 30 % les arrêts maladie.
  • Les TMS (Troubles Musculo-Squelettiques) représentent 80% des maladies professionnelles et 8,4 millions de journées de travail perdues
  • Pour les salariés, le déjeuner est un enjeu important, puisqu’il représente environ un quart des repas consommés chaque semaine. Or 12 % des salariés mangent le plus fréquemment un sandwich le midi.

Des obligations légales pour le dirigeant

Les entreprises doivent donc composer avec ces réalités et faire face aux obligations imposées par le législateur : l’article L4121-1 du Code du Travail précise que « pèse sur tout employeur l’obligation d’assurer la sécurité et de protéger la santé physique et mentale de ses salariés. »

Nutrinergie vous propose ainsi d’organiser, tout au long de l’année, des temps d’échanges, d’information et de formation autour des questions du bien-être, de la qualité de vie au travail et de la préservation de la santé. Les ateliers permettent de délivrer des clés et des outils aux collaborateurs, afin qu’ils puissent initier des changements structurels les conduisant à plus de responsabilité individuelle, de manière à (re)devenir acteurs de leur santé.

Les entreprises performantes sont celles qui ne transigent pas avec le bien-être de leurs collaborateurs. Les risques sont multiples :

le burn-out

Un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail », pouvant entraîner anxiété, troubles de l’alimentation, dépression, etc.

le brown-out

Une perte de sens, un sentiment d’inutilité au travail, de vacuité des tâches exécutées et l’incompréhension du rôle joué dans l’entreprise. Il peut entraîner épuisement, baisse de l’estime de soi et dépression

le bore-out

Un syndrome d’épuisement professionnel par l’ennui, pouvant entraîner notamment démotivation, anxiété et tristesse. Il apparaît de plus en plus fréquemment en entreprise.

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